Les autorités marocaines ont expulsé aujourd'hui 13 étrangers hors du Sahara Occidental, le jour du 6 novembre où le pays colonisateur célèbre le 37ème anniversaire de "la Marche verte". La marche de lancement de l'entrée militaire du Maroc au Sahara Occidental.
Ce sont 4 norvégiens et 9 espagnols qui ont été obligés de partir.
Les Norvégiens, Kristine Halling, Henriksen, Pål, Gunnar Kaus, Vegard Tjørhom sont arrivés ce mardi matin à El Aaiun occupée pour rencontrer des sahraouis sur la question de la pêche et de l'accord UE- Maroc. Cet accord qui est actuellement en négociation a été dénoncé et annulé dans sa précédente version parce qu'il n'excluait pas les eaux du Sahara Occidental, et permettait aux navires européens à venir pécher aux larges des cotes du Sahara, et que cela est illégale.
Les eaux du Sahara Occidental ne peuvent être exploitées que par les pêcheurs sahraouis ou par des étrangers à condition que les Sahraouis soient consultés et d'accord. Ce qui n'est pas le cas.
Les jeunes politiciens norvégiens ont été assignés à résidence par la police marocaine dans leur hôtel, avec interdiction de faire des rencontres avec des Sahraouis, puis ils ont été conduits par des policiers marocains hors de la ville, sans alternative possible que de repartir vers Agadir.
Pour les Espagnols, 5 membres de la jeunesse communiste et 1 activiste de la gauche unie ont été arrêté à la gare des bus Supratour à El Aaiun alors qu'ils s'apprêtaient à quitter la ville occupée. Ils avaient réussi la veille à rencontrer des organisations de défenses des droits des sahraouis.
Des agents des renseignements généraux ont conduits les 6 espagnols au check point au nord de la ville et leur ont demandé de payer un taxi pour partir à Agadir, leur interdisant de cette façon de pouvoir prendre le bus.
2 membres de réseau THAWRA et 1 de la coordination de solidarité avec le peuple sahraoui ont également été expulsés de la même manière.
Ce sont 4 norvégiens et 9 espagnols qui ont été obligés de partir.
Les Norvégiens, Kristine Halling, Henriksen, Pål, Gunnar Kaus, Vegard Tjørhom sont arrivés ce mardi matin à El Aaiun occupée pour rencontrer des sahraouis sur la question de la pêche et de l'accord UE- Maroc. Cet accord qui est actuellement en négociation a été dénoncé et annulé dans sa précédente version parce qu'il n'excluait pas les eaux du Sahara Occidental, et permettait aux navires européens à venir pécher aux larges des cotes du Sahara, et que cela est illégale.
Les eaux du Sahara Occidental ne peuvent être exploitées que par les pêcheurs sahraouis ou par des étrangers à condition que les Sahraouis soient consultés et d'accord. Ce qui n'est pas le cas.
Les jeunes politiciens norvégiens ont été assignés à résidence par la police marocaine dans leur hôtel, avec interdiction de faire des rencontres avec des Sahraouis, puis ils ont été conduits par des policiers marocains hors de la ville, sans alternative possible que de repartir vers Agadir.
Pour les Espagnols, 5 membres de la jeunesse communiste et 1 activiste de la gauche unie ont été arrêté à la gare des bus Supratour à El Aaiun alors qu'ils s'apprêtaient à quitter la ville occupée. Ils avaient réussi la veille à rencontrer des organisations de défenses des droits des sahraouis.
Des agents des renseignements généraux ont conduits les 6 espagnols au check point au nord de la ville et leur ont demandé de payer un taxi pour partir à Agadir, leur interdisant de cette façon de pouvoir prendre le bus.
2 membres de réseau THAWRA et 1 de la coordination de solidarité avec le peuple sahraoui ont également été expulsés de la même manière.
EM, Sahara Occidental occupé
El Aaiun, le 6 novembre 2012
Policiers marocains en civil, contrôle de 3 espagnols, avant expulsion