M. Christopher Ross, envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara Occidental, est parti des territoires occupés où il est resté 3 jours, pour arriver samedi 3 novembre dans les campements de réfugiés Sahraouis, situés dans le sud-ouest algérien.
El Aaiun occupée
Ce même jour, 3 novembre, les sahraouis ont manifesté pour revendiquer le respect de leurs droits et leur rejet de l'occupation sur le boulevard Ras El Khaima, quartier les bâtiments rouge, quartier douirat. Ils ont été systématiquement chargés et dispersés par les policiers marocains.
Dans la rue Chaouia vers midi, un commando de policier marocain a arrêté l'ancien prisonnier politique sahraoui SARIR Abdelmoutalib, 27 ans. Ils l'ont frappé, torturé et ont essayé de dessiner un drapeau marocain sur la peau de sa cuisse.
Ce soir vers 22h30, les forces d'occupation ont attaqué pour la deuxième fois, la maison de Omar Karkoub, journaliste membre de EM et ils ont arrêté son cousin Khalil Chaikhi, lui aussi membre d'EM.
Khalil CHAIKHI a été torturé par la patrouille puis relâché. Il est blessé au niveau de la tète et du visage.
Smara ocupée
Dans la soirée du 3 novembre, des citoyens sahraouis ont manifesté à Smara, dans le quartier Tantan.
Les forces d'occupation ont chargé les manifestants, sans sommation et fait de nombreux blessés.
Ils ont frappé un vieil homme du nom de Banahi Jawda puis ils ont saccagé sa maison et frappé son fils, Elwali Jawda, et sa fille Fadala (Oum Elfadli) Jawda.
Fadala Jawda, ancienne prisonnière politique incarcérée pendant 4 mois après les événements de Gdaim Izik était présente dans la maison de son père quand les policiers sont entrès pour tout saccager, et ils l'ont frappée et lui ont cassé le bras. Elle est encore à l'hôpital à l'heure de l'édition de cette information.
La maison de Ahl Chaikhi a elle aussi été saccagée par les policiers marocains. Les sahraouis Said Hayan, Habouha Balwai ont été blessés dans l'attaque policière. Le quartier est encerclé par la polices depuis la manifestation.
À 1h du matin, le 4 novembre, plusieurs témoins affirment que les forces de police marocaines encerclent l'hôpital où de nombreux défenseurs des droits des sahraouis renommés se sont rendu pour se faire soigner.
Vers la même heure, les forces d'occupation procèdent a des rafles et des arrestations aléatoires de Sahraouis présents dans la rue, qu'ils aient ou non participé aux manifestations.
Dakhla occupée
Ce soir vers 22h, plus de 60 sahraouis se sont réunis dans le quartier Laftihat pour revendiquer le respect de leurs droits. Les policiers marocains ont chargé violemment.
Graimich Sidaty, Omar Baha, Mohamed Laou, Sidi Sadam on été arrêtés et conduits au poste de police où ils ont été interrogés et frappés.
Selon Graimich Sidaty qui a été relâché vers 23h30 comme les 3 autres, ils ont entendus des cris de douleurs dans une pièce proche de celle dans laquelle ils étaient enfermés, mais n'ont pas pu identifier les autres personnes arrêtées.
La maison de Sidi Bouya a été saccagée sans raison par les forces d'occupation.
EM, Sahara Occidental occupé
Le 4 novembre 2012
Voir photos et vidéos : https://www.facebook.com/?ref=logo#!/EquipeMedia2010?fref=ts
El Aaiun occupée
Ce même jour, 3 novembre, les sahraouis ont manifesté pour revendiquer le respect de leurs droits et leur rejet de l'occupation sur le boulevard Ras El Khaima, quartier les bâtiments rouge, quartier douirat. Ils ont été systématiquement chargés et dispersés par les policiers marocains.
Dans la rue Chaouia vers midi, un commando de policier marocain a arrêté l'ancien prisonnier politique sahraoui SARIR Abdelmoutalib, 27 ans. Ils l'ont frappé, torturé et ont essayé de dessiner un drapeau marocain sur la peau de sa cuisse.
Ce soir vers 22h30, les forces d'occupation ont attaqué pour la deuxième fois, la maison de Omar Karkoub, journaliste membre de EM et ils ont arrêté son cousin Khalil Chaikhi, lui aussi membre d'EM.
Khalil CHAIKHI a été torturé par la patrouille puis relâché. Il est blessé au niveau de la tète et du visage.
Smara ocupée
Dans la soirée du 3 novembre, des citoyens sahraouis ont manifesté à Smara, dans le quartier Tantan.
Les forces d'occupation ont chargé les manifestants, sans sommation et fait de nombreux blessés.
Ils ont frappé un vieil homme du nom de Banahi Jawda puis ils ont saccagé sa maison et frappé son fils, Elwali Jawda, et sa fille Fadala (Oum Elfadli) Jawda.
Fadala Jawda, ancienne prisonnière politique incarcérée pendant 4 mois après les événements de Gdaim Izik était présente dans la maison de son père quand les policiers sont entrès pour tout saccager, et ils l'ont frappée et lui ont cassé le bras. Elle est encore à l'hôpital à l'heure de l'édition de cette information.
La maison de Ahl Chaikhi a elle aussi été saccagée par les policiers marocains. Les sahraouis Said Hayan, Habouha Balwai ont été blessés dans l'attaque policière. Le quartier est encerclé par la polices depuis la manifestation.
À 1h du matin, le 4 novembre, plusieurs témoins affirment que les forces de police marocaines encerclent l'hôpital où de nombreux défenseurs des droits des sahraouis renommés se sont rendu pour se faire soigner.
Vers la même heure, les forces d'occupation procèdent a des rafles et des arrestations aléatoires de Sahraouis présents dans la rue, qu'ils aient ou non participé aux manifestations.
Dakhla occupée
Ce soir vers 22h, plus de 60 sahraouis se sont réunis dans le quartier Laftihat pour revendiquer le respect de leurs droits. Les policiers marocains ont chargé violemment.
Graimich Sidaty, Omar Baha, Mohamed Laou, Sidi Sadam on été arrêtés et conduits au poste de police où ils ont été interrogés et frappés.
Selon Graimich Sidaty qui a été relâché vers 23h30 comme les 3 autres, ils ont entendus des cris de douleurs dans une pièce proche de celle dans laquelle ils étaient enfermés, mais n'ont pas pu identifier les autres personnes arrêtées.
La maison de Sidi Bouya a été saccagée sans raison par les forces d'occupation.
EM, Sahara Occidental occupé
Le 4 novembre 2012