WSRW a demandé à la Commission Européenne ce qui est fait pour empêcher que les produits du Sahara Occidental soient étiquetés à tort comme étant «marocains» lorsqu’ils arrivent sur le marché européen.
Le 20 décembre 2011, Western Sahara Resource Watch (WSRW) a envoyé une lettre à M. John Dalli, commissaire européen chargé de la Santé et la politique des consommateurs.
« Nous croyons que faire du commerce avec les produits du Sahara Occidental, et les étiqueter comme « marocains » a de graves conséquences juridiques, éthiques et politiques pour l'UE et pour le consommateur. Nous aimerions savoir ce que va faire votre bureau pour s'assurer que les produits du Sahara Occidental ne sont pas étiquetés comme étant marocains », a déclaré la lettre. Téléchargez la lettre complète ici.
Le 23 février 2012, le commissaire a envoyé une réponse à WSRW disant que les questions de pays d'origine sont en dehors de la compétence de son portefeuille politique.
Le commissaire a précisé que la demande WSRW sur l'étiquetage des produits du Sahara Occidental avait été transmise au Cabinet du Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.
"Je suis sûr que, en collaboration avec les services compétents de la Commission, une réponse portant sur vos préoccupations vous parviendra rapidement", a répondu le commissaire.
« Nous croyons que faire du commerce avec les produits du Sahara Occidental, et les étiqueter comme « marocains » a de graves conséquences juridiques, éthiques et politiques pour l'UE et pour le consommateur. Nous aimerions savoir ce que va faire votre bureau pour s'assurer que les produits du Sahara Occidental ne sont pas étiquetés comme étant marocains », a déclaré la lettre. Téléchargez la lettre complète ici.
Le 23 février 2012, le commissaire a envoyé une réponse à WSRW disant que les questions de pays d'origine sont en dehors de la compétence de son portefeuille politique.
Le commissaire a précisé que la demande WSRW sur l'étiquetage des produits du Sahara Occidental avait été transmise au Cabinet du Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.
"Je suis sûr que, en collaboration avec les services compétents de la Commission, une réponse portant sur vos préoccupations vous parviendra rapidement", a répondu le commissaire.